
Au beau milieu de l’épidémie, les chiffres indiquaient que 85 % de la population était asymptomatique et que 14 % des personnes restantes guérissaient. Seul 1 % des personnes atteintes avaient un pronostic grave. Mais ces personnes avaient souvent une pluripathologie et étaient relativement âgées. De fait, plus personne ne mourrait plus d’autre chose que du Covid ! curieux non ?
Cela devrait à soi seul suffire à rassurer puisque seules les personnes déjà très affaiblies encouraient un risque fatal.
(À condition d’oublier l’hydroxychloroquine et aussi de se voir prescrire une piqûre de l’euthanasiant, le Rivotril).
Or aujourd’hui, il suffit de consulter le site officiel des chiffres relatifs au Covid :
https://www.gouvernement.fr/info-coronavirus/carte-et-donnees
Pour voir que en dépit de tous les efforts pour gonfler ou falsifier les chiffres, ceux-ci restent anodins en rapport aux mesures draconiennes prises ici et là.
Alors, pourquoi ne pas laisser se développer l’immunité collective en supprimant les masques, les gestes barrière, les solutions hydro-alcooliques et toutes les mesures de protection contre ce virus fortement affaibli ? Je ne suis pas médecin, mais le simple bon sens me dit que cette immunité collective sera très précieuse cet automne ou cet hiver lors d’une possible infection aux virus ou aux coronavirus.
Par conséquent, une fois encore, les experts du politiquement correct médical, qui ont probablement une tête bien pleine mais pas bien faite, et qui manquent cruellement de bon sens, préconisent exactement les mesures à l’opposé de ce qu’il faudrait faire : laisser circuler librement, et le plus possible, le virus affaibli.
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Covid : Immunité collective bientôt atteinte ? Vidéo censurée sur YouTube en 20 minutes
Vidéo en question :
Immunité Collective bientôt atteinte (Vidéo de Silvano Trotta du 18/8/20) CENSURÉE par YouTube
https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/immunite-collective-bientot-86759
Immunite_Collective_bientot_atteinte_Video_de_Silvano_du_18_8_20_CENSUREE_par_Youtube.mp4 —
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« L’immunité collective des Russes à l’infection par le coronavirus après la première phase d’une étude menée par le Service fédéral de Surveillance de la Protection des droits des consommateurs et du Bien-être humain dépasse les 20 % dans 11 régions. Les niveaux d’immunité les plus élevés ont été détectés chez les enfants en âge de pré-scolarité et d’école primaire », a rapporté lundi le service de presse de l’agence.
« Dans le cadre de la première phase, en juin-août, plus de 71 800 personnes ont été contrôlées dans 26 régions de la Fédération de Russie. Selon les résultats de l’étude, dans 11 régions, le niveau d’immunité collective était supérieur à 20 %, les niveaux les plus élevés d’immunité collective ont été établis pour les enfants en âge préscolaire (1-6 ans) et en début de scolarité (7-13 ans) ; les valeurs pour ces groupes d’âge sont de 1,3 à 2,1 fois supérieures au niveau moyen d’immunité collective dans les régions », a indiqué le communiqué.
« Parmi les travailleurs sociaux, le plus haut niveau d’immunité collective a été détecté dans le domaine des soins de santé et de l’éducation. » « La situation reste sous le contrôle du Service fédéral de Surveillance de la Protection des droits des consommateurs et du Bien-être humain », a noté l’agence.
Perspectives pathogéniques et salutogéniques
La médecine conventionnelle continue majoritairement à se laisser guider par la pathogenèse : c’est ce qui nous rend malades, donc le virus, qui doit être anéanti. Dans la perspective salutogénique, ce dont il s’agit, c’est de développer l’immunité en face de la maladie. Nous devrions passer du concept pathogénique au concept salutogénique. Dans cette perspective familière à la médecine anthroposophique, il est bon que les personnes plus jeunes soient contaminées les premières, pour construire une immunité collective et à terme, protéger les personnes plus âgées. Les arguments avancés dans de nombreux débats sur la vaccination sont la clé, ici aussi. La panique qui a été suscitée – aussi par les médias – a atteint une telle échelle que même des personnes jeunes, qui dans la plupart des cas ne s’aperçoivent pas qu’elles sont infectées, angoissent, voire deviennent hystériques. La médecine conventionnelle, qui revendique rationalité et sang froid, réagit ici sur le mode panique et émotionnel – ce qui ne manque pas d’ironie. Je ne suis pas surpris que nos collaborateurs, ici à la clinique, en dépit de la forte pression, conservent un bon état d’esprit positif. Ils connaissent aussi bien la conception salutogénique que pathogénique de l’être humain et c’est une aide pour prendre ici la situation au sérieux et en même temps garder confiance, demeurer forts.