
Quel genre de démocratie est-ce lorsque sous la pandémie on autorise des manifestations politiques qui contribuent indéniablement à la propagation du mal ? À la mort des plus faibles, des plus vulnérables, des plus destitués, qui n’ont aucune voix, ni force de se lever et s’insurger.
Quel genre de démocratie est-ce lorsque nos vieux n’ont personne pour les défendre et défendre leur droit à la vie ?
Quel genre de démocratie est-ce lorsque la majorité est contre l’immigration à outrance mais que les chefs d’états la perpétuent, faisant fi des nécessités et exigences de leurs citoyens ?
Quel genre de démocratie est-ce quand elle nous mène directement au suicide ?
Enfin quel genre de démocratie est-ce lorsqu’elle nous nie nos droits élémentaires à la parole ?
C’est le genre de démocratie que nous vivons à l’heure actuelle… Inutile de vous dire qu’elle possède tous les atouts d’une dictature, qui sous les oripeaux de la démocratie permets tous les outrages.
La situation est à tous points de vue malsaine. La chape inquiétante qui pèse sur chacun est de mauvais aloi pour une société au bord de la crise.
Il est inutile de nous faire porter un masque de protection sanitaire! Nous avons déjà bien implanté sur nos faces celui de la soumission, puisque nous sommes incapables de nous défendre et défendre nos droits.
Le monde entier vit sous la férule de ces dirigeants élus démocratiquement qui demain nous basculerons vers des théocraties, la soumission et la perte indéniable de notre liberté…
Trop de choses s’accumulent sur cette bascule appelée démocratie qu’il faut traiter dans l’immédiat et ne plus tempérer. Car la justice est déviée, les droits ignorés, la puissance se dirige directement vers ceux que nous croyons être nos défenseurs… Le sont-ils ? Où allons-nous? C’est la question qu’il faut se poser.
Les comportements les plus inquiétants se font jour mêlant suspicion, délation, hostilité, violence palpable, et aussi malaise diffus pendant de la privation de liberté.
Il est urgent de prendre conscience que trop c’est trop et qu’on ne pourra pas continuer ainsi éternellement sans courir le risque de désordres graves.
Et tout cela pourquoi ? En raison de choix politiques reposant sur du sable et qu’on nous vend comme des décisions responsables alors qu’elles n’ont pas le moindre fondement objectif, décisions imposées par un principe de précaution hors sol et une peur alimentée de projections fantasmatiques.
Il faut siffler la fin vite, très vite. Sinon le pire est à craindre.