SOUS LE RÈGNE DE LA TERREUR PSYCHOLOGIQUE

Dans la tête d’un(e) autre….

Nos temps modernes s’inscrivent principalement sous le règne de la peur, de la veulerie, manipulation, corruption, perte irréversible de notre intimité, de notre liberté.

Les systèmes de communications opérants en nos jours – efficaces et essentiels – ouvrent une rampe à tous les ambitieux qui les ont transformés en moyens de locomotion/colportage d’information véridique ou frauduleuse, pour atteindre leur objectif : La soumission inconditionnelle de l’être humain à leur merci. C‘est un travail de conviction, persuasion, désorientation qui ultimement plafonne en l’adoption contrainte d’un régime tyrannique.

Plus nous progressons, plus nous constatons qu’il n’y a en vérité, rien qui puisse être considéré comme innocent, incorruptible, convenable, juste et humain… Le mensonge, la fraude, la partialité, tout est bon lorsque sur une bascule de la balance, des intérêts financiers pèsent si lourd qu’ils culbutent un équilibre déjà aléatoire.

Prenons simplement l’exemple des news diffusés à la télévision. En fait ce que vous voyez, n’est qu’un ramassis d’informations triées, sélectées, appropriées au besoin de l’heure, et conformes à la politique en marche, ou à celle en perspective. Mais même, si vous consacrez à ces news une attention relative, ils sont entrecoupés par un déluge de publicité que l’on vous inflige et que vous subissez sans broncher. Vous devenez à votre insu, un soumis inconscient de sa soumission. Vous capitulez complaisamment devant le programme imposé, et parfois même, vous succombez à ses lois et à ses charmes, où alors vous éteignez le système pour bloquer momentanément l’invasion graduelle de votre intimité.

Avant c’étaient les journaux, qu’il fallait acheter au kiosque du coin. C’était de l’écrit, du tangible, du vérifiable… Aujourd’hui, c’est du virtuel, opaque, fluide, envahissant et obsédant. En principe, nous subissons un lavage de cerveau, prémédité et excessivement pompant.

De son côté, l’industrie cinématographique a assimilé depuis très longtemps l’efficacité de son travail de sape sur les populations, les peuples, les races, les régimes, les politiques, tout en s’attelant au remaniement flagrant des esprits, des perceptions et des visions. Le cinéma est devenu une arène où les races sont débattues, les politiques contestées – d’où la prolifération des divergences.

Les guerres, les conflits, les haines et les contradictions sont mis à nue.

Mais aussi, à force de vouloir présenter des réalités dans leurs moindres détails, le cinéma est devenu l’école indispensable aux malfaiteurs, aux brigands, aux terroristes. Tout y est étalé, tout y est décrit dans ses éléments les plus menus. Comment construire des bombes, comment combattre l’ennemi, quelles stratégies employer, adopter ? Une institution parfaite pour les insurrections, les désaccords qui peuvent mener au meurtre, au crime. Nous sommes devenus des pantins malmenés par le jeu machiavélique des cinéastes, des faiseurs de loi, des prétendus adeptes aux droits de l’homme, droits moraux etc… L’horreur, le sang, la violence, la déchéance de l’homme dans tous ses aspects, priment dans la majorité des films qui nous sont distribués.

Il a suffi d’une pandémie pour que le maléfice explose dans toute sa splendeur.

La corruption, suivie d’un tapage ininterrompu en ligne directe, destructeur et démoralisant, s’étale et se ramifie. Il ne s’agit plus de combattre un virus, mais d’évincer des masses qui venaient à peine de réaliser qu’il ne s’agit plus de combattre un virus, mais bien des projets titanesques déclenchés par un système dont l’objectif principal est de créer l’épouvante qui contraindrait les peuples à capituler, à se plier aux exigences parfois insensées des faiseurs de lois. Confinement, port de masque, restrictions sanitaires, vaccination, perte de liberté, de courage, d’ingéniosité… sous l’égide infaillible des services sociaux qui s’évertuent à empêcher des fuites d’information contradictoire aux règles nouvellement décrétées…

Survint alors une avalanche de documents issus de professeurs en médecine, en virologie, des savants qui diffusent des constats, des diagrammes convainquant dans les deux sens, et qui souvent se contredisent. Les uns recommandent la vaccination de masses, les autres hurlent la nocivité de tous les vaccins et leur danger mortel à court ou à long terme. Pour le commun des mortels, c’est passer en éclair, d’une extrémité à l’autre. En fin de compte, beaucoup se sont vaccinés alors qu’un noyau coriace refuse avec véhémence de se plier, créant une scission entre les peuples, ouvrant un accès déplaisant aux accusations envers les réfractaires : « A cause de vous, il nous est impossible d’obtenir une immunisation globale ». « Il faut que tous se vaccinent pour obtenir une immunité généralisée… formule répétée sans relâche à la radio, à la télévision, dans les journaux, qui a fonctionné à la perfection ou presque en Israël, puisque les trois quart de sa population est aujourd’hui vaccinée à deux reprises.

Mais lorsque des variantes du virus apparurent, l’efficacité du vaccin se mit à perdre beaucoup de ses plumes. On parle d’une troisième portion… on ose aussi insinuer qu’il faut vacciner les bébés… Tout est permis…

Les questions que tous les vaccinés ou pas se posent, englobent en majorité l’incohérence dans les réactions des faiseurs de loi, des dirigeants de pays :

  • Pourquoi avoir refusé ou ralenti toute recherche de traitement efficace à ce mal ?
  • Pourquoi, vue l’urgence de la situation, ont-ils accepté l’usage d’un vaccin créé à base d’une méthode pionnière, révolutionnaire, inexplorée, encore à l’étude ?
  • Pourquoi avoir accepté de faire des populations du monde des cobayes et de quel droit ?
  • Pourquoi vacciner les plus jeunes si ces derniers sont généralement peu propices à en être des victimes ?

Il y a trop de pourquoi, mais surtout beaucoup de bouches, notamment celles d’éminents professeurs dans le domaine médical qui hurlent à la fraude, aux faux constats de morts du Corona.

Rien ne va plus… Il faut ouvrir cette plaie et sonder profondément les dessous de tout ce tintamarre…

Il faut surtout regagner sa dignité, et travailler d’arrache-pied pour instaurer une saine stabilité dans tous les domaines et entre nous tous.

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