
C’est un fait irréfutable, une vérité absolue. Une vérité qu’Éric Zemmour a clamée haut et fort face au soumis Mélenchon qui essayait de justifier par la pauvreté la délinquance que connaît la France.
« Non, ça n’a rien à voir avec la pauvreté », a fermement réagi Éric Zemmour lors de son débat jeudi soir avec le leader des (in)soumis. « La délinquance que nous vivons n’est pas une délinquance. C’est un djihad, a-t-il martelé. C’est une guerre qui nous est menée. Une guerre de civilisation, une guerre de pillage, une guerre de vols, une guerre de viols et une guerre de meurtres. »
Nuire aux mécréants, que ce soit en France ou ailleurs, en s’en prenant à leur intégrité physique ou à leurs biens, est une action hautement recommandée et bénie. Les musulmans le savent très bien. Qu’elle soit ou non menée sous le cri de guerre de l’islam, « Allahu Akbar », elle sera rétribuée par Allah.
La rétribution est encore plus importante lorsque la délinquance vise les forces de l’ordre, les pompiers et les ambulanciers.
En France, on n’hésite pas à pousser et à encourager à de tels actes dans les règles de l’art musical. Comme dans ce sublime morceau chanté par un groupe de rappeurs du Val-de-Marne, dirigé par un Algérien, Abdelkarim Brahmi-Benalla, dit « Rim’K », une œuvre d’art téléchargeable sur toutes les plateformes dans la généreuse et nourricière république française :
« J’crie tout haut : J’baise votre nation
L’uniforme bleu, depuis tout p’tits nous haïssons. On remballe et on leur pète leur fion…
À la moindre occasion, dès qu’tu l’peux, faut les baiser
Bats les couilles les porcs qui représentent l’ordre en France. J’aimerais voir brûler Panam au napalm sous les flammes façon Vietnam
Par tous les moyens il faut leur niquer leurs mères
On s’est installé ici c’est vous qu’on va mettre dehors »
La haine du mécréant est enseignée aux musulmans dès leur plus jeune âge. Je suis bien placé pour le savoir et l’affirmer. On me l’a enseignée aussi.
C’était un « djihad » dirigé contre des familles juives qui habitaient notre village, à l’est du Maroc. Il n’y avait pas de chrétiens. Cela se passait au début des années soixante. Le mot « djihad » était déjà en vogue en ces temps-là.
Les familles juives s’étaient installées dans ce village depuis de longues années et y entretenaient différents commerces. Jalousés par certains, haïs par tous, ces juifs, des personnes âgées pour la plupart, faisaient l’objet de toutes sortes d’agressions, de tracasseries et de railleries. Un harcèlement quotidien. Une cruauté sans limites. J’y participais avec tous les enfants du village. C’était une besogne à laquelle on ne pouvait se soustraire. Les samedis, jour du shabbat, on organisait de véritables croisades contre la synagogue du village qu’on assiégeait à coups de cailloux tant que durait la cérémonie rituelle des juifs.
Dans notre besogne, nous n’avions jamais été inquiétés ni par les forces de l’ordre, ni par personne d’autre. Les adultes nous encourageaient en nous promettant le Paradis. Ce que nous faisions relevait du djihad, la guerre sainte, nous assuraient-ils. Rentrés à la maison, nous faisions part de notre combat à nos parents dont nous recevions de chaleureuses félicitations.

Un juif ne se risquait jamais à sortir seul, même en plein jour. Quand on attrapait un jeune, on lui crachait dans la bouche, une façon de le convertir à l’islam en lui transmettant notre salive noble et bénie de musulmans. On y croyait vraiment.
Je constate amèrement que cette manie de cracher au visage des femmes mécréantes s’est installée et s’est ancrée en Europe, particulièrement après l’invasion migratoire de 2015.
Suspecté, depuis les travaux de Pasteur, de véhiculer des maladies, dont la tuberculose, le crachat a été inlassablement combattu et va pratiquement disparaître dans les années 50. Le brave glaviot sera cependant de retour en Europe dans les années 70 avec l’arrivée des migrants musulmans qui « ont importé dans leur pays d’adoption cette habitude, parfaitement acceptée dans d’autres régions du monde » (Dixit le sérieux journal « Le Monde » – décembre 2008). La prolifération des crachats en France va s’accélérer avec l’arrivée des socialistes au pouvoir.
Les pays d’accueil, en France ou ailleurs en Europe, adoptent vite cette habitude des migrants et l’encouragent puisqu’ils ne l’interdisent pas. Lancer un glaviot dans la rue, dans les lieux de travail, à la maison, dans les hôpitaux, chez le coiffeur, chez le dentiste, chez le boulanger ou le boucher est considéré comme étant un comportement tout à fait normal. C’est une « habitude parfaitement acceptée » en Europe, note « Le Monde ».
Mais le crachat va changer de « fonction sociale ». Il va acquérir un rôle et une mission « djihadiste ». Il n’est plus seulement une mauvaise habitude qui va avec le burnous et la djellaba et rythme les discussions, les mouvements et les activités des peuples épris d’expectoration, mais devient une arme de harcèlement contre les mécréants et les impies, une arme particulièrement prisée par les djeunes.
C’est une arme à la portée de tous, facile à utiliser et qui ne requiert ni équipement ni entraînement. Ses dégâts sont cependant terribles. Une blessure au corps, même au couteau, peut cicatriser et s’oublier. Un crachat avilit la victime et ne sèche jamais. La femme qui a reçu un crachat au visage ne s’en remettra jamais.
Mais, ne demandez pas son avis à Mélenchon sur cette manie chez les musulmans de cracher au visage des Européennes.
Il dira encore que c’est dû à la pauvreté…
Messin’Issa
● Ce que je déteste par-dessus tout ? L’obséquiosité. Quand l’homme cesse d’être un homme pour devenir un paillasson. Parfois, c’est tout un peuple qui se fait paillasson.