14 Novembre 2014
Les dinosaures sont là ! 65 millions d’années après leur extinction, ils ont réussi le tour de force d’une résurrection. Cette fois-ci c’est l’esprit des gens qu’ils ont envahi. Cette « dinosaurienne » déferlante depuis quelques années est-elle puérile ou cache t-elle autre chose?
Nous sommes depuis tous les temps, fascinés par ces bêtes, intrigués par leur disparition mystérieuse. Que sont-ils devenus Tricératops, Brontosaure et autres Tyrannosaure ? Nul ne sait expliquer comment ces bêtes géantes, ont disparu de la terre soudainement, par un cataclysme ou au contraire graduellement par épuisement. En fait la réalité de l’époque paléontologique est insuffisamment connu.
Lors du cinquième jour de la création, Hashem fit émerger les taninim hagedolim, les grands taninim. Les chapitres concernés parlent parfois de créatures vivantes et par ailleurs de créatures physiques ou symboliques. Trois mots principaux dans la Torah les a identifiés : תנינם tanninim, בהמות béhémoth et לויתן léviathan, qui désignent différentes sortes de dinosaures. Cette information reste brève, isolée et hermétique, comme si elle ne trouvait pas nécessaire de s’attarder davantage sur le sujet, tout en voulant quand même nous communiquer une allusion rapide sur ce fait. Tanninim est traduit de plusieurs manières différentes ; soit il est “le monstre de mer” soit “le serpent“, une sorte de reptile géant mais plus généralement “le dragon“. Ces créatures sont mentionnées à plusieurs reprises et se retrouvent tant sur terre que dans l’eau. La Torah décrit ce “monstre“ comme un géant dont la queue est assimilée à un cèdre. Les paléontologues parlent de mastodontes marins notamment le Brachiosaure et le Diplodocus dotés d’une énorme queue comparable à un cèdre.
La Torah déclare que les hommes et les dinosaures ont à l’évidence vécu ensemble. Souvenez vous dans une de mes précédentes études intitulée “Notions de Kabbale“ j’avais mentionné que le Sefer Hatemouna rapporte que l’existence du monde est de 38000 années divines, et que 1000 ans correspond à une journée pour Hashem donc de 365,25 jours = 365250 ans à l’échelle humaine.
38000 Années Divines étant équivalent à environ quinze milliards d’années, date de la création, ce cinquième jour de la création serait très largement antérieur à 65 millions d’années, date supposée de leur extinction. Sans remonter à 65 millions d’années, il faut ici rappeler qu’il y a 75000 ans, un hyper volcan a provoqué la quasi disparition de l’espèce humaine (catastrophe de Toba), et il ne serait resté sur notre planète qu’environ 2000 êtres humains (dont nous sommes fatalement tous les descendants).
Pas plus loin de chez nous, dans la vallée du Rhône on a découvert des silex taillés datant d’une civilisation âgée de plus de 20 millions d’années, sur lesquels sont gravés des dinosaures. Or, on nous rapporte que tous les dinosaures ont disparu il y a 65 millions d’années. De surcroît à la quantité substantielle de preuves anthropiques (impact sur l’environnement) et historiques sur la coexistence de dinosaures et de l’homme s’ajoutent d’autres preuves physiques, comme les empreintes de pas humains fossilisées et de dinosaures trouvées en Amérique du Nord ainsi qu’en Asie de l’ouest et centrale.
Autant que l’on y songe, la terre a subi à plusieurs reprises des cataclysmes qui ont provoqué la disparition de milliers d’espèces. Ceci m’autorise à dire : soit nos ancêtres sont plus anciens que l’on ne l’affirme, soit que quelques dinosaures aient échappé à l’extinction des espèces il y a 65 millions d’années, et dans tous les cas, la rencontre entre l’homme et le dinosaure reste plausible.
Autre phénomène constaté : l’absence de fossiles marins, mais aussi de fossiles végétaux ( incompréhensible pour de nombreux et énormes animaux ) renforce la thèse de catastrophes zonées. Donc l’humain pouvait coexister avec d’autres formes animales, mais dans des zones écologiques différentes (on ne trouve quasiment pas d’oiseaux fossilisés avec les dinosaures). Ceci jette une énorme pierre dans la mare des certitudes scientifiques. Il est naturellement facile d’écarter d’un revers de main complaisant cette possibilité, capable de changer la donne en matière d’histoire. Mais une fois de plus, le doute ne doit-il pas permettre de faire apparaitre une autre vérité, aussi dérangeante fusse t-elle ?

Pour de nombreux paléontologues, l’extinction de différentes espèces serait due à une grande malchance ou à de mauvais gènes. Seule une chance particulière aurait pu favoriser une espèce au détriment d’une autre. On peut supposer lorsqu’une extinction en masse se produit, que ce n’est pas l’espèce la plus forte qui survit, mais la plus chanceuse ! Donc contrairement à ce que l’on a longtemps certifié, la “supériorité“ des mammifères n’est pas à l’origine de l’extinction des dinosaures. Tant que les dinosaures dominaient la Terre, les mammifères ne pouvaient pas exister, c’est par leur extinction que les mammifères et plantes à fleurs devinrent ensuite des dominants.
Le problème ressemble à une énigme policière : on a une multitude de cadavres et plein d’indices. Qui est donc l’auteur de ces milliers de victimes ? Le meurtre a eu lieu il y a 65 millions d’années, de même d’autres espèces d’animaux et de végétaux ont péri aussi à cette occasion. La réponse la plus crédible serait que tout a commencé quand un métal, l’iridium est apparu dans des échantillons rocheux, or cet oligo-élément est rare sur terre mais très commun dans l’espace et il a été découvert en quantité considérable dans la mince couche de sol qui se situe au-dessus de celle où les dinosaures sont morts. Pour qu’une météorite ait détruit les dinosaures sur toute la planète, il fallait qu’elle soit gigantesque. Quelle était donc la probabilité d’une chute d’un tel bloc sur la Terre, quels seraient les effets d’une telle explosion ? Comment les victimes ont elles été exterminées ? Par la chaleur, l’empoisonnement ?
On pense aujourd’hui que la météorite qui a percuté la planète à près de 90000 Km/h mesurait environ 10 à 20 km de diamètre et s’est écrasée il y a 65 millions d’années près de l’actuelle péninsule du Yucatan au Mexique. Cet événement a entraîné une extinction massive des espèces animales. Le choc a dégagé une énergie équivalente à 5 milliards de bombes d’Hiroshima et l’explosion aurait ainsi ravagé tout le continent américain. La poussière et la suie auraient durant plusieurs mois provoqué ”un hiver nucléaire”. Privées de soleil, les plantes seraient mortes et la chaîne alimentaire aurait été rompue (Brontosaures, Tyrannosaures et autres bestioles en tous genres seraient toutes mortes de faim, dans un monde froid et sombre !)
Ce refroidissement aurait été suivi par un fort réchauffement climatique dû à la grande quantité de CO2 libérée dans l’atmosphère lors de l’explosion, la grande majorité des espèces (50%) aurait été atteinte. Certaines formes de vie sont restées, soient en attendant le Soleil (graines), soient en mangeant des cadavres. Du point de vue humain, l’impact d’une telle météorite est l’un des événements les plus important de l’histoire de notre planète.
Si l’homme sous cette apparence existe aujourd’hui, c’est que l’impact était prévu. Sans l’impact et la catastrophe écologique, les dinosaures seraient peut-être aujourd’hui encore les maîtres du monde et nous ne serions même pas là pour le constater ou pour le raconter.
Alors que certains croient, et j’en suis, faire de gros progrès en reconstituant leur généalogie familiale grâce à quelques archives usées datant au mieux de quelques siècles, « la reconstitution de l’arbre généalogique d’une famille est certes une étude intéressante car assurément nous sommes tous des explorateurs à la recherche de nos racines, et c’est un exercice très captivant », mais le long souvenir de notre histoire commune l’est aussi. Il ne se passe pas un jour où il ne soit pas publié un article scientifique parlant de l’origine de l’homme. La recherche scientifique du XXI siècle se veut athée, essayant le plus possible de rendre l’histoire du monde conforme à la pseudo réalité darwiniste, La réponse est toute trouvée « si vous dites qu’avant ce qui a créé notre univers, il y a une entité qui n’a ni temps ni espace ni matière, vous nommez D.! Vous donnez un autre nom, mais en réalité vous nommez Hashem. » D’ailleurs pour de nombreux scientifiques, la crédibilité de la théorie de Darwin, la fameuse théorie de l’évolution, est largement dépassée. Mais Darwin est quand même un génie qui a montré que le monde a évolué, qu’on est passé du simple au complexe. En vérité, la notion d’évolution est un vieux concept juif disant que le monde a été créé de façon potentielle, donc évolutive.
Maintenant, nous avons le néo-darwinisme avec des mutations, des accidents génétiques qui apportent de nouveaux caractères triés par la sélection naturelle. C’est ainsi que la vie s’organise et se complexifie, les êtres vivants se sont succédés et se sont développés pour arriver progressivement jusqu’à l’homme. Il y avait l’homme adamique, le seul qui va nous intéresser dans la Torah et des humanités qui ont préexisté.
Quand on dit que le monde a 5774 ans, on se réfère à la création d’Adam, mais le monde est plus âgé et ceci n’est pas contesté. Si la Torah avait considéré le temps selon l’époque d’Adam, le texte aurait employé l’expression “un premier jour” car c’est selon ces dires qu’il y a eu six jours. La Torah utilise l’expression “Jour Un” Au commencement. À la question, quel est l’âge de l’univers ? elle répond: il est de six Jours. Effectivement en comptant le temps jusqu’à Adam on obtient Six jours, contrairement à nous qui regardons derrière et affirmons à tord que l’univers est de 15 milliards d’années car avant le “Jour Un” le temps ne s’est pas écoulé de la même façon.
Au fait, qu’en est-il d’Adam ? A t-il nécessité d’une création particulière ? son corps s’est-il développé, à fortiori, jusqu’à se transformer en un réceptacle pouvant recevoir la Néchama ( l’âme ) ? Ce problème a toujours agité les philosophes, à défaut d’interpeller les scientifiques. Notre corps n’est qu’une enveloppe, un outil qui nous permet de vivre sur le plan vibratoire de la terre. Il est éphémère contrairement à notre âme et certains ont tendance à l’gnorer. Simple et fragile à la fois: Hashem a insufflé à un homme qu’il jugeait adéquat une fraction de spiritualité, et ce moment change tout. Antérieurement, Les autres humanités existent, fabriquent des outils, des cités lacustres, des peintures rupestres, mais sont dépourvus de conscience. Cela ne va être possible qu’à partir de – six mille ans, instant où Adam va être doté de divin. « Poussière détachée du sol, Il lui insuffla dans les narines un souffle de vie ».
En revanche aucun scientifique contemporain ne s’attendait, à devoir faire face à une telle situation : la science contemporaine, dans sa diversité rejoint finalement ce qui était déjà écrit dans les textes de la torah! savez vous que la question centrale entre torah et science est la suivante: qu’est-ce qui précède quoi? Existait t-il avant tout un logiciel ?
Paradoxalement dans le domaine de la physique et de l’astrophysique de plus en plus de scientifiques prennent les voies d’un cheminement spirituel. Chez les astrophysiciens, il y a un véritable retour à la spiritualité. Une réalité qui dépasse l’intellect humain, et toute tentative de comparaison avec le quotidien relève de l’erreur. Mais toi Alex, qu’en penses- tu ?
Notre génération a le mérite d’assister à de profonds changements, dans cette approche (puisqu’il est de plus en plus évident que non seulement la Torah ne contredit pas la science, mais qu’au contraire, elle la devance de plusieurs millénaires) cela veut dire qu’il existait déjà un Logiciel de toutes les catégories de l’être avant qu’il apparaisse en matière et qu’il soit doté d’un sens moral et spirituel. Plusieurs faits scientifiques montrent que vers cette zone, – 6000 ans, il y a eu des changements drastiques. C’est la révolution agricole, le néolithique, plein de choses nouvelles se sont passées. C’est la création de l’homme tel que nous le concevons, de l’homme adamique par opposition à d’autres humanités physiquement et zoologiquement identiques aux hommes mais dépourvus d’étincelle divine. Paradoxalement, on retrouve des traces de sépultures, des armes et des objets familiers. Il y avait donc une certaine spiritualité. Force est de croire que ces mondes pré-adamiques se sont succédés avec une augmentation et un perfectionnement de spiritualité .
Remonte dans le temps, bien avant l’automobile, le téléphone et l’électricité, va encore plus loin, tu arriveras il y a 400 générations, quand tes ancêtres commençaient à cultiver la terre et à se croire séparés de l’univers. En avançant encore, il y a 10 000 générations environ, tu trouveras ton premier ancêtre homo sapiens. Mais ton origine est encore antérieure ; il y a 100 000 générations, ceux par qui tu es arrivée étaient des hominidés. Quelques dizaines de millions d’années auparavant, ton ancêtre, un tout petit mammifère, vivait au temps des derniers dinosaures (Ha nous y voilà). Plus loin encore, c’était une étoile des mers un amphibien de 15000 gènes déjà, et si tu escalades la chaîne du vivant qui mène jusqu’à toi, tu arrives aux unicellulaires, à la formation de la Terre, à la naissance de l’univers. Cet exercice mental te permet alors d’agir selon ton âge véritable de quinze milliards d’années, et de prendre part au changement de cap vers une société qui soutient la vie et qui respecte tous les êtres vivants.
Mais ta réflexion devrait être la suivante : est-ce que la matière en se développant a créé de l’intelligence, de l’esprit, de la pensée, de la spiritualité, de la religion. Incontestablement Oui! Et le point de départ est une énergie, l’énergie des atomes, les atomes des molécules, les molécules du minéral, du végétal, de l’animal. À un moment donné un singe lève la patte et accède à la pensée pour finalement atteindre la spiritualité.
À l’évidence la Science a démontré qu’il n’existe qu’une seule « substance sans substance », qui peut se transformer en matière, c’est l’énergie. La fameuse équation d’Einstein E = MC2 nous apprend que l’énergie peut se transformer en matière. Et à partir du moment où elle devient matière, le temps prend forme. Cette énergie qui est à l’origine de la création n’apparaît-elle pas dans la Torah ? Bien sûr que si : c’est la fameuse lumière créée le premier jour, le «Or Haganouz», la lumière cachée et qui, selon la kabbale, a permis la formation des mondes.
Nous savons aujourd’hui que l’énergie telle que les faisceaux de lumière, les ondes radio, les rayons gamma ou bien les rayons x se déplace à la vitesse de la lumière (300 millions de mètres par seconde). À cette vitesse là, le temps ne s’écoule pas. L’univers était âgé mais le temps n’a pris forme que lorsque la matière est apparue. Cette période temporelle avant que l’horloge de la torah ne démarre a duré 1/100000ième de seconde. Un temps infime certes, mais durant ce temps l’univers s’est dilaté partant de la taille d’un grain de riz minuscule pour atteindre environ la taille du Système Solaire. A partir de ce moment, la matière apparaît et le temps commence à s’écouler.
Malgré tout, je me suis rendu compte qu’il y avait beaucoup d’obscurantisme et qu’il fallait torde le cou aux idées fausses comme « La science se trompe toujours, la Torah a toujours raison. » Dire qu’il y a tout dans la Torah et qu’on n’a pas besoin de la science est une incommensurable bévue alors que le message de la science et celui de la Torah sont convergents. La vérité est plus nuancée : La Torah est toujours « Emeth », vraie, mais la science ne se trompe pas toujours et s’approche au contraire du vrai. Somme toute, la Torah est le reflet de la volonté de Dieu. et la science est le reflet du monde : étant du même Auteur, il y a forcément adéquation.
👍
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